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Aminata tient deux photographies d’elle prises avant qu’elle perde la vue et après qu’elle l’a perdue.
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En 2011, des activistes ont attaqué sa maison, dans le quartier de Yopougon à Abidjan (Côte d'Ivoire), en utilisant des gaz toxiques qui l’ont rendue aveugle. Ses deux cornées ont fondu. Aminata, chez elle avec ses sœurs.
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La mère d’Aminata, Fanta, dans la cour de sa maison. Lors de l’attaque de sa maison, les activistes ont tué son fils ainsi que la femme et deux enfants de celui-ci. Ils les accusaient de dissimuler des armes et ont assiégé leur maison pendant sept jours, alors que les cadavres des membres de la famille étaient encore à l’intérieur. Lorsque l’odeur est devenue intenable, ils leur ont ordonné d’enterrer les corps dans la cour de la maison, où ils reposent toujours. Abidjan (Côte d’Ivoire).
Photo : Rena Effendi pour la CPI #LaVieApresUnConflit – Témoignages recueillis par l’Unité de la sensibilisation @renaeffendiphoto